Le 22 janvier, il a été signalé que l’eau était polluée dans certains cantons de San José. Qu’ont fait les autorités ? Qu’a-t-on dit à ce sujet ?


Le 22 janvier, un mauvais goût et une mauvaise odeur de l’eau ont été signalés dans certains secteurs du nord-est de San José. En effet, dans les cantons de Tibás, Moravia et Goicoechea, l’eau avait commencé à sentir et à avoir un goût d’essence.

Après les premiers rapports au AyA (Acueductos y Alcantarillados), les plaintes se sont poursuivies sur les médias sociaux au cours des jours suivants. Ce n’est que le jeudi 25 janvier que les autorités, dont le ministère de la santé, ont confirmé que l’eau était contaminée par un hydrocarbure.

À ce jour, le ministère de la santé et le personnel d’Aya ne savent pas quel produit chimique contamine l’eau et pourquoi cela s’est produit. Cette eau polluée atteint plus de 100 000 personnes à San José et il est recommandé de ne pas la consommer, de ne pas l’utiliser pour la préparation des aliments et de ne pas l’utiliser pour l’hygiène personnelle. Il est également déconseillé de la faire bouillir, car cela ne change rien à la situation.

Qu’a-t-on fait à ce sujet ?

Alors que les enquêtes se poursuivent, la solution du gouvernement a été de distribuer de l’eau dans des camions-citernes qui acheminent l’eau dans les rues principales des cantons touchés.

Des experts de l’AyA et du ministère de la santé procèdent à un échantillonnage intensif, à des études de contamination souterraine, à des travaux d’inspection et à l’analyse des sources d’eau. En outre, ils tentent d’identifier d’autres sources d’eau et d’améliorer les infrastructures dans la région.

Pour Miguel Guillén, secrétaire du Parti de la libération nationale, le président Rodrigo Chaves doit assumer ses responsabilités et prendre des décisions concernant les fonctionnaires qui ont échoué.

Es fundamental que el presidente Rodrigo Chaves dé la cara, se ponga al frente de la crisis sanitaria y de abastecimiento de agua que ha estado afectando a miles de familias costarricenses en San José. Ni la ministra ni el presidente ejecutivo del AYA han sido capaces de asegurar a tiempo la salud de los costarricenses. Desde el PLN, le solicitamos al presidente responsabilidad, actitud de miras, que se concentre en los problemas nacionales que afectan a los costarricenses y que lidere las crisis y, por supuesto, que establezca las responsabilidades de los funcionarios irresponsables que no han sabido cumplir con su deber. El acceso al agua potable es un derecho fundamental.

Miguel Guillén

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